La soupe au pistou

Les Ingrédients :

400 g de haricots cocos à égrener (blancs, rouges ou verts)

2 carottes (facultatif)

400 g environ de haricots verts plats ou ronds de deux couleurs (vert et blancs)

4 à 5 courgettes longues

4 à 5 tomates rouges

2 oignons

1 tête d’ail : 4 gousses d’ail (pour la soupe) le reste pour le pistou

Huile d’olive, sel

1 bouquet de basilic

Parmesan (ou gruyère)

Coquillettes (pour le lendemain)

La recette :

Faire chauffer 2 litres d’eau dans une cocotte en fonte. Saler et porter à ébullition.

Pendant ce temps laver et préparer tous les légumes.

Les ajouter dans la marmite au fur et à mesure :

- les oignons coupés en morceaux et l'ail écrasé.

- les haricots coco  égrenés.

- les carottes  coupées en petits dés.

- les haricots verts plats coupés en morceaux de 1 cm environ.

- les courgettes coupées en dés.

-les tomates coupées en dés (et épluchées si vous préférez).

NE PAS METTRE DE POMMES DE TERRE. Je suis étonnée de voir cette proposition  partout sur internet, et même dans le REBOUL. Dans ma famille, on n'en mettait jamais et c'est écrit en gros dans le vieux cahier de cuisine. De toute façon en Provence, personne n'avait de pommes-de-terre en été. Est-ce pour cela que ma famille avait changé la recette d'origine ? Je ne pourrais pas vous le dire. 

Faire cuire l’ensemble au moins 1 heure 30 (il faut que les cocos fondent dans la bouche).

La soupe est toujours meilleure réchauffée.

Pendant ce temps préparer le pistou…à la main ou dans un robot. Ecraser ou mixer les gousses d’ail épluchées avec le basilic lavé et essoré. Ajouter l’huile d’olive en filet jusqu’à obtenir une pâte verte et lisse…

Dans l’assiette, mettre 1 cuillère à café de pistou, du parmesan (ou du gruyère) et verser la soupe par-dessus.

Il ne vous reste plus qu'à déguster... Humm !!

Cette soupe provençale se sert les soirs d'été. Elle est très rafraîchissante. Vous pouvez terminer le repas tout simplement avec une salade verte et un peu de fromage (de chèvre par exemple) puis avec une salade de fruits frais maison ou des fruits cuits (pêches, abricots...).

Le lendemain seulement, quand il y avait des restes, on rajoutait dans le plat des coquillettes. Paraît-il que c'est traditionnel d'en mettre, en tous les cas dans ma famille pourtant provençale, cela ne se faisait pas du tout le premier soir.