Les livres et moi, mes coups de coeur, mes découvertes, mes créations ou mes voyages : intellectuels, spirituels, botaniques ou culinaires...
Cette année le printemps est très en retard, comme je vous l'ai déjà dit dans mon précédent article. Les températures, la nuit, sont restées longtemps en-dessous de zéro (et ce n'est pas fini...) et malgré le soleil et le ciel bleu qui attirent tant les touristes, le Mistral très (trop) fréquent cette année, a encore davantage asséché la nature et nos jardins.
Voici cependant, pour bien terminer la semaine, quelques fleurs qui ont fait leur apparition dans les jardins ou ont résisté à l'hiver.
Tout l'hiver, j'ai eu quelques taches de couleurs grâce à ces pensées, plantées en automne. C'est la première année que je suis obligée de les arroser en janvier et février pour qu'elles continuent à fleurir.
Mon mini rosier a fleuri sans discontinuer. Il faut dire aussi qu'il est placé bien à l'abri contre un mur.
Depuis quelques jours, les jonquilles et jacinthes se sont bien développées. Ces fleurs représentent pour moi les véritables symboles du printemps !
Les pervenches ont besoin d'eau et sont très en retard cette année.
Les forsythias aussi...Il faut dire qu'ils sont plantés à l'ouest et donc manquent un peu de soleil.
Enfin, les giroflées et les mufliers (=gueules de loup) ne vont pas tarder à égayer les massifs.
Je ne vous montrerai pas, comme habituellement quand je vous parle de mes fleurs, mon adorable Iris qui a atteint l'âge vénérable de 23 ans et 9 mois exactement avant de nous quitter pour partir au paradis des chats, s'il existe, rejoindre sa maman, Gaia, et sa copine Mira.
Elles ont été heureuses chez nous mais à présent nous ne voulons plus d'animaux, c'est trop triste de leur dire adieu.
Et c'est avec cet orpin des jardins qui reprend vie, que se termine mon article du jour. C'est une plante "crassulante" qui disparait totalement en hiver pour renaître avec le printemps.
Je vous souhaite à tous un agréable week-end, malgré la conjoncture actuelle qui n'est pas terrible, nous devons garder espoir.